Médicaments qui altérent le jugement...

Voilà, j'ai pu voir que la fondatrice était dans le domaine médicale (enfin, c'est pas forcément pour ça que ce sera son avis le meilleurs mais enfin bon...)

Voilà, je voulais savoir ce que vous pensiez des médoc qui altère le jugement d'autrui...

+ n'est ce pas une attaque a l'une de nos libertés fondamentales, je veux parlé de la liberté de pensée par nous même...
+ un moyen extrêmement lache d'en finir momentanément avec ces problèmes !
+ un aide inefficace puisque au final cela ne change rien à la situation ...

ou au contraire ...

+ une aide nécessaire dans des cas ou la personne risque de mettre fin à sa vie ( petit rappelle de mon passage sur le post " suicide ")
+ une aide (encore une fois) pour que la personne y voit au contraire plus claire...
+ un appui nécessaire dans certains cas, a un suivi psychologique de la personne

enfin voilou, j'éspére que ce sujet va vous intérrésser ^^

Sujet vaste s'il en est... Quand tu parles de "médocs" qui altère le jugement d'autrui, je ne vois pas de quoi tu veux parler. Les lignes qui suivent éclaircissent un peu le sujet mais cela reste flou. Veux-tu parler des anti-dépresseurs, des neuroléptiques, etc.?

Personnellement je pense que les cachets sont une bonne chose si tu en as vraiment besoin, mais si c'est pour après en prendre pour ne plus affronter la dureté de la vie ça ne devient pas une bonne chose, en plus c'est très mauvais pour la santé ! Et puis faut faire gaffe à pas devenir dépendant mais si on te le prescrit généralement c'est pas pour rien. Mais bon chacun son avis hein ! ça me fait pensé à une scène dans matrix avec la pilule bleu et la pilule rouge hihi! bon oki j'y vais !

Oui Vovin tu as exactement compris de quoi je veut parler ...

Je pense que les antidépresseur son un très bon moyen pour les personnes qui ont eu des problèmes qui ont essayer d'en finir avec un suicide. Maintenant si ils sont nocifs pour la santé je sais pas, mais j'ai jamais eu défect négatif.

Oui il faut un minimum de prudence avec ce genre de médoc je parle en connaissance de cause avec ma tante qui en prend comme des bonbons elle a même tenter de mourir avec ses médocs... Les dangers de la médecines parfois qu'y pouvons nous.

Personnellement, je trouve que cela fait que la personne fuit ses propres démons alors qu'elle devrait les affronter.
Ses médicaments doivent être prescris en dernier recours uniquement et juste pour "calmer" la personne si elle a des crises de folie dirons nous.
Je pense qu'un suivi avec un psychiatre vaut mieux que la prise continuelle de ce genre de médicaments.

Ces médicaments ont une fonction définie qui permettent de soulager le patient et son entourage. Maintenant je comprends que l'on puisse être inquiet des dérives possibles car ce sont des médicaments puissants et qui agissent au niveau du cerveau ce qui n'est pas anodin. Leur plus gros problème est la dépendance qu'il peuvent créer.

Tout d'abord il me semble utile de définir ce dont on parle.

Les neuroleptiques : Se dit des médicaments qui exercent une action sédative sur le système nerveux et qui sont utilisés pour traiter les psychoses.
Auraient pour synonyme = tranquillisant.

Les antidépresseurs sont des psychotropes (des substances qui modifient le psychisme). Ils sont destinés à faire disparaître la tristesse (les trouble de l'humeur). Si tous ont ce point commun, certains stimulent les patients : ils agissent sur la fatigue psychique et physique. D'autres sont sédatifs (ils calment) : ils diminuent l'angoisse et améliorent le sommeil. D'autres enfin sont à la fois tranquillisants (sédatifs) et stimulants.

Ils font partis de la famille des Psychotropes qui sont des médicaments capables d'agir sur nos fonctions psychiques. Les fonctions psychiques se passeraient de toute définition, parce qu'elles sont pour nous l'essence même de la vie. Ce serait ne plus vivre, donc ne plus être, que de ne plus penser. ( " Je pense, donc je suis " ) La psychologie classique divise les fonctions psychiques en fonctions intellectuelles et en fonctions affectives :

- aux premières appartiennent la conscience " tout court ", c'est à dire la vigilance, la mémoire, l'imagination, l'abstraction, l'idéation et l'association des idées ;

- aux secondes appartiennent l'émotion, les sentiments, l'humeur, la passion, la conscience morale et les jugements de valeur : bien ou mal, bon ou mauvais.

Les praticiens affirment qu'il n'y a aucune dépendance, le plus dangereux étant l'arrêt brutal de ce genre de médicaments (antidépresseurs).
(pour avoir croisé le Prozac dans ma vie, je peux vous assurer que c'est vrai, son influence est telle qu'un arrêt net m'a "permis" de ne pas fermer les yeux ni trouver le sommeil pendant presque 2 semaines).
D'autres te calment tellement que tu as l'impression d'être un légume, un fantôme, qui ère dans son appartement en peignoir alors qu'il est 18h sans avoir la force ni l'envie de faire quoi que se soit.

Alors est-on mieux avec que sans, n'a t'on pas plus envie de se tirer une balle quand on se voit dans un tel état et n'est-ce pas remplacer un mal par un autre... ?

Mon point de vue est très clair et personnel car fondé sur du concret mais peut-être ces substances seront salvatrices pour d'autres personnes qui sait, je le souhaite en tous cas.

Donc en prenant des antidépresseur, si je comprend bien, on peut en devenir accros, et avoir quelques problémes de cerveau aprés.

Vos réponses sont vrais toutes les deux, il ne faut pas généraliser pour tous les médocs, ni abuser des ces cachets mais il est certain que c'est une certaine façon de soigner le mal par le mal, ou une façon d'oublier sa douleur en créant une autre douleur ailleurs, enfin à mes yeux c'est un peu ça, et depuis mes expériences avec ces médocs, je refuse catégoriquement que l'on m'en prescrive mm si je suis au 100ème dessous.

Je tombe rarement malade et à mon âge je n'use pas encore des médicaments jusque ici je suis préservée...

Par contre je ne sais pas comment je réagirai plus tard avec un travail une maison des enfants et tout le pataclan... Me faire suivre par un psy ??? Ou alors les médocs en essayant de rester dans les normes d'utilisations enfin l'avenir me le dira...

Comme je n'ai pas d'allergies particulières c'est un plus aussi mais je souhaite tout de même éviter le contact avec les médicaments, quand je suis malade ça dure deux jours grand maximum et je me soigne sans médocs à coup de mouchoirs et de maison ^^

Une petite question, si j'arête maintenant de prendre des antidépresseur (alors que sa fait presque un mois que j'en prend presque tout les jours) est ce que je risque d'avoir des effets secondaires ??

Ben moi je dirais que tu tomberais en dépression ou que tu ferais une crise de manque et qu'on saurait plus te tenir ...

L'arrêt des médocs doit être décidé par ton médecin pas tout seul je pense

Est ce qu' un médecin filant ce genre de médocs à n'importe quel malade est fiable ???
Je pense qu'il faut arréter ce genre de médicamants que quand on s'en sent la force de le faire.

Quand on se sent la force de ne plus re plonger dans le néant et que l'on peu se "gérer" seul, je veux dire par là reprendre un train de vie normal et calme au début et éviter le stress, sinon c'est de nouveau la case médocs je pense...

Mais dans ces situations il faut un soutien moral venant de ses proches pour avoir une chance de s'en sortir.

"Une petite question, si j'arête maintenant de prendre des antidépresseur (alors que sa fait presque un mois que j'en prend presque tout les jours) est ce que je risque d'avoir des effets secondaires ??"
Je confirme la réponse de Petrus, il ne faut surtout pas arrêter brutalement et de façon nette un traitement à base d'antidépresseur, le médecin te le dit (normalement) quand il te les donne mais il faut diminuer les doses sur plusieurs semaines afin de ne pas avoir d'effet secondaire.

Je confirme aussi c'est une chose à ne pas faire.

Quant au sujet est-ce-que c'est une bonne chose tout ces médoc, vu le panel de cachetons sur le marché, tout dépend des compétences du médecin, certains traitements peuvent être bénéfiques d'autre non et tout dépend aussi de la durée du traitement, la prise d'anti-dépresseur ou autre "bonbons" du genre pendant une trop longue période, n'est pas une solution mais plutôt un nouveau problème je trouve. Sans compter ceux qui ne peuvent s'empêcher de boire malgré que l'alcool et ces médicaments ne font pas bon ménage. C'est un peu comme avec la psychiatrie beaucoup de cas se ressemble mais chaque patient est unique.

Mon seule anti dépresseur étant la bière je ne peut pas vraiment avoir d'avis sur le sujet, si ce n'est qu'à mon sens ces médicaments font plus de mal que de bien.

Dans des cas extrêmes il est nécessaire de prendre des médicaments si le diagnostic est bon et le médicament est bien approprié pourquoi pas ça peu t améliorer la qualité de la vie.
Il reste que les personnes qui perdent le contrôle de leurs vies restent dépendant de ces médicaments.
Ces médicaments en sûrement des effets indésirables à cours ou à longs terme c'est ca que je trouve dommage.
L'idéal c'est de trouvé a avoir une thérapie qui fonctionne sans médicaments.